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Une initiative deBruxelles Environnement

Découvrez les principes du CBS+

Le nouveau coefficient de biotope par surface renforcé, ou CBS+, est un outil et indicateur qui permet d'évaluer la présence de certains biotopes sur un terrain. Bâtiments, toitures, façades, terrasses, voiries, jardins, parcs... ces espaces peuvent être conçus de manière à limiter leur impact sur la nature et, au contraire, la favoriser dans le mesure du possible.

Calculez votre CBS+ et identifiez des pistes d'amélioration !

Le CBS+, qu'est-ce que c'est ?

Le Coefficient de Biotope par Surface renforcé (CBS+), est un indicateur chiffré qui caractérise le potentiel théorique représenté par un site pour la préservation ou le développement de la nature, et sa contribution plus large à la cohérence du réseau écologique bruxellois.

Cet outil destiné notamment à l’aménagement urbain contribue à une meilleure prise en compte et intégration de la nature dans les plans et projets. Il propose une base pour l’évaluation d’une situation existante, permet d’envisager plusieurs scénarios d’aménagements et attire l’attention des concepteurs sur les enjeux locaux en termes de renaturation.

Infos techniques

Public cible Professionnels
Type d'action Améliorer un CBS+ - Planifier - Diagnostiquer
Espace concerné Bâtiment - Cour de récré - Espace public - Espace vert - Jardin - Natura 2000 - Voirie
Niveau Intermédiaire - Confirmé

Fiches CBS+

Cette fiche fait partie d'un ensemble de fiches dédiées à l'outil CBS+. Retournez à la page principale pour voir toutes les fiches et télécharger le calculateur.

Pour commencer, quelques concepts

Le CBS, origine et fondement

Origine de l'outil

Le premier coefficient de biotope par surface (CBS) a été développé et mis en œuvre en 1998 en Allemagne, à Berlin, où il caractérisait essentiellement la perméabilité à l'eau des surfaces, sans réellement amener une information sur les différents biotopes. Le concept initial s’est répandu et a été adapté de diverses manières en Europe et dans le monde.

On note essentiellement la forme classique du coefficient, qui octroie des valeurs aux différents types de surfaces, parfois complétées de bonus variés rendant compte des façades végétalisées ou de la présence d’arbres ou de haies.

Adapté par Malmö (Suède) et repris par Londres, le coefficient est devenu le Green Space Factor, intégrant une plus grande caractérisation des surfaces végétalisées, et s’accompagnant d’un système de 25 Green Points, des éléments qualitatifs et objectifs d’aménagements complémentaires sous forme de liste de points rendant compte d’aménagements possibles sur un terrain.

Photo d'une rue végétalisée à Saint-Gilles
© Bruxelles Environnement
Photo d'une prairie fleurie devant le bâtiment des Mutualités libres
© Natagora

À Bruxelles, le CBS est en usage indicatif et sur base volontaire depuis les années 2010. Il a été révisé en 2018 pour donner le CBS+, renommé "coefficient de potentiel de biodiversité", version restée indicative et disponible dans le Guide du bâtiment durable jusqu'à aujourd'hui.

En 2024, le CBS+ est à nouveau révisé pour devenir un outil officiel, approuvé par le Gouvernement. Il devient le coefficient de biotope par surface renforcé, renvoyant à la terminologie de « biotopes urbains » découlant de l’article 66 de l’ordonnance du 1er mars 2012 relative à la conservation de la nature.

La nouvelle version détaillée ici combine l’approche classique d’un coefficient par surface et l’approche plus récente d’un coefficient de renforcement liés aux biotopes et aménagements plus spécifiques.

Une nouvelle version "Renature"

En 2024, le Gouvernement bruxellois a validé une nouvelle version du CBS+, actualisée dans le cadre du Plan nature. 

Le Plan prévoyait, dans sa mesure 9, une adaptation de l'outil historique (déjà réadapté en 2018) de manière à ce qu'il tienne compte de la position dans le réseau écologique, de la "spécificité des quartiers", de la capacité à accueillir la faune et la flore sauvages ou encore du type de projet concerné (rénovation, construction, espace public...). Des nuances importantes à intégrer à l'évaluation d'un terrain ou d'un projet de développement. 

La nouvelle version intègre donc une contextualisation locale et une liste étendue de paramètres qui influencent le score final et les "mentions" obtenues (un ou plusieurs +). 

Les principales évolutions entre l'outil 2018 (qui était disponible sur le Guide Bâtiment durable) et la version 2024 sont présentées dans les tableaux ci-dessous.

Évolution sur les principes généraux

Ancien CBS+ CBS+ Renature
Distingue le bâti de l'espace ouvert #0/1 #1/1
Distingue différents types de projets (construction, rénovation, espace public...) #0/1 #1/1
Prend en compte la localisation dans le réseau écologique #0/1 #1/1
Prend en compte l'influence paysagère du site #0/1 #1/1
Prend en compte les espèces (potentiellement) présentes sur le terrain #0/1 #1/1
Fixe une valeur de référence propre à chaque projet #0/1 #1/1
Affiche un résultat plus intuitif #0/1 #1/1
S'intègre à un écosystème global d'accompagnement et information #0/1 #1/1

Évolution sur les surfaces "éco-aménagées"

Ancien CBS+ CBS+ Renature
Distingue les revêtements de sol végétalisés et non végétalisés #1/1 #1/1
Distingue les toitures végétalisées sur base de l'épaisseur de substrat #1/1 #1/1
Permet la prise en compte des terres "contraintes" comme les fosses d'arbres, les sols sous construction sur pilotis, etc. #0/1 #1/1
Valorise la "pleine terre" #1/1 #1/1
Identifie spécifiquement les zones d'eau #1/1 #1/1

Évolution des éléments du bâti

Ancien CBS+ CBS+ Renature
Valorise les façades végétalisées #0/1 #1/1
Prend en compte la faune inféodée au bâti #0/1 #1/1
Evalue l'éclairage des façades (pollution lumineuse) #0/1 #1/1
Prend en compte les surfaces réfléchissantes et transparentes (collisions d'oiseaux) #0/1 #1/1
Intègre la composition botanique des plantations (plantes favorables et diversifiées) #0/1 #1/1

Évolution des éléments de l'espace ouvert

Ancien CBS+ CBS+ Renature
Intègre différentes strates de végétation #1/1 #1/1
Distingue clairement les strates herbacées, arbustives et arborées #0/1 #1/1
Utilise des valeurs par tranches d'espace pour tenir compte de la complexité du mesurage #0/1 #1/1
Promeut les biotopes pertinent selon le paysage et les espèces potentiellement présentes #0/1 #1/1
Intègre la composition botanique des plantations (plantes favorables et diversifiées) #0/1 #1/1
Intègre la notion de connectivité écologique, continuités arborées et au sol #0/1 #1/1
Evalue l'éclairage extérieur (pollution lumineuse) #0/1 #1/1

Intérêt et utilisation de l'outil

Le CBS+ actualisé intègre de nombreux points d'attention pour les administrations en charge de l'environnement et de l'urbanisme. 

Même s'il n'amène évidemment pas une analyse exhaustive, il couvre et structure une série de données importantes pour évaluer la qualité d'un projet. 

Son paramétrage et sa structure offrent une "checklist"  bien utile pour améliorer la capacité d'accueil de la faune d'un projet en tenant compte des principaux enjeux et intérêts locaux.


Intérêt pour le concepteur

L'outil CBS+ présente plusieurs intérêts pour les concepteurs de projets, architectes, architectes paysagistes, bureaux d'études et autres demandeurs de permis.

Il permet entre autres de  :

  • Guider le travail de conception.
  • Identifier les biotopes pertinents sur ou pour le terrain.
  • Penser aux principaux éléments liés à la nature (checklist).
  • Renvoyer à des fiches pratiques.
  • Booster la qualité de l'aménagement.

Intérêt pour l'administration

La version actualisée du CBS+ vise également à faciliter le travail des administrations dans l'instruction de certains dossiers, aussi bien auprès des services de l'environnement que de l'urbanisme.

Il permet notamment de :

  • Centraliser et structurer les informations sur la nature.
  • Pré-analyser les enjeux sur le terrain concerné.
  • Faciliter la remise d'avis en amont pour les facilitateurs.
  • Guider l'accompagnement de projets.
  • Contribuer à la remise d'avis sur les demandes de permis.

Amélioration des projets

Le CBS+ vise à améliorer la quantité et la qualité des biotopes sur un terrain donné. Il donne plus de points à des revêtements et structures "utiles" pour l'accueil de la biodiversité, en particulier les éléments végétalisés structurels d'un site. Il donne des "bonus" à une large série de biotopes urbains : mares, tas de pierres ou de bois, haies vives, nichoirs...

  • Améliorer un projet par rapport à ses propres contraintes et emprises.
  • Atténuer les incidences du projet sur le terrain et son environnement.

Le CBS+ n'empêche pas de construire

Le CBS+ ne confère pas de protection et n'a pas vocation à empêcher ou limiter l'artificialisation des sols et l'urbanisation. Pensé dans le cadre plus large de l'urbanisme, il vient orienter les choix de conception mais ne remplace pas le cadre réglementaire applicable parcelle par parcelle.

Les dispositions du Plan régional d'affectation du sol (qui définit notamment la constructibilité d'un terrain) et du Règlement régional d'urbanisme (notamment en termes de pourcentage de parcelle imperméabilisable) restent pleinement applicables et ne sont pas contredites.

Néanmoins, même si un terrain peut être entièrement bâti, le CBS+ viendra guider les concepteurs pour proposer un projet plus qualitatif.

Un outil simple et pragmatique...

Le CBS+, comme outil d’évaluation d’un projet, est calculé au regard de la situation initiale et confronté à l’évaluation du projet final, c’est-à-dire en tenant compte des emprises et implantations définis et autorisés par le règlement régional d’urbanisme (et les plans d'affectation du sol) pour le projet concerné.

Le CBS+ ne remet donc pas en question le caractère constructible d’un terrain qui aurait une telle affectation au plan d’affectation du sol (PRAS). Il contribuera toutefois à ce que l’urbanisation et la densification s’opèrent avec un certain équilibre vis-à-vis de l’espace ouvert utile à la résilience face aux changements climatiques et au développement de la nature.

... mais non exhaustif vis-à-vis de la qualité écologique globale d'un site

Le CBS+ considéré seul ne fournit toutefois pas toutes les garanties que les espaces aménagés soient effectivement favorables au développement de la nature, puisqu’il est réduit à une évaluation standardisée, calculée qui plus est avant réalisation des travaux, et sans prise en compte de la gestion à long terme. Il ne suffit donc pas à garantir la pérennité et la qualité des aménagements paysagers.

D’autres données non évaluées par le CBS+ sont importantes pour évaluer la qualité écologique globale, notamment :

  • La position exacte dans le maillage vert, notamment la connectivité des éléments adjacents non directement sous l’emprise du projet.
  • La structure fine du paysage et des aménagements (complexité tridimensionnelle, répartition des strates, etc.)
  • La composition précise des aménagements (caractère indigène, intérêt écologique, espèces problématiques comme les plantes exotiques envahissantes, etc.)
  • La gestion régulière des aménagements (intensité, récurrence, période d’intervention, matériel utilisé, pression d’usage socio-récréatif du site, etc.)
  • La prise en compte des espèces de faune et de flore présentes sur le site (inventaires Faune-Flore-Habitats préalables, mesures de protection pendant les chantiers, etc.).
  • Les paramètres de qualité physico-chimique et biologique des eaux (de surface ou souterraines) et des sols.
    Photo d'un ouvrier sur un élévateur
    © Natagora
    Photo d'un revêtement perméable
    Revêtement perméable © Bruxelles Environnement

    Même si des liens évidents peuvent être tissés entre diverses thématiques environnementales et que des corrélations peuvent s’identifier, le CBS+ n’est pas non plus (directement) un indicateur de l’imperméabilisation, de l'artificialisation ou de la qualité des sols, de la capacité d’infiltration des eaux pluviales ou du potentiel de lutte contre l’ilot de chaleur urbain.

    On notera toutefois que les valeurs élevées des surfaces végétalisées et de pleine terre impliquent que les sols plus naturels, qui offrent des surfaces permettant d’infiltrer et retenir les eaux et de rafraichir l’air (par évapotranspiration et albédo élevé) obtiennent des scores supérieurs. 

    L’inverse n’est pas nécessairement vrai : des surfaces à CBS+ faible peuvent néanmoins contribuer à l’infiltration des eaux (p.ex. enrobé drainant) ou à l’amélioration microclimatique (p.ex. matériaux clairs) sans avoir d'intérêt direct en termes de biodiversité.

    Ces éléments peuvent être évalués via d’autres outils, notamment ceux proposés par Bruxelles Environnement, comme l’Indice de Qualité des Sols Bruxellois (IQSB).

    Évaluer l'avant et l'après

    Avant ou maintenant : la situation existante

    L’indicateur renvoie à la valeur estimée d’un site existant pour la conservation et le développement de la nature, basé sur des données et paramètres actuels (plans, visites de terrain, etc.). 

    Il s’agit ici d’une utilisation dite en « situation existante » (Sitex), descriptive. Cette approche est également utile pour proposer un état des lieux générique d’une parcelle ou d’un terrain dans le cadre d’un diagnostic nature, ou comme point de départ à l'élaboration d'un plan de gestion.

    La situation existante est basée sur la situation de fait (qui existe réellement) ! Pas sur la situation de droit (qui était prévue en théorie dans les plans et permis d'urbanisme antérieurs).

    Après : la situation projetée

    L’indicateur permet de comparer plusieurs variantes de projets ou divers aménagements possibles sur un même site et, de ce fait, permet une recherche pour l’amélioration d’un projet en « situation projetée », prospective ou projective. Il se base alors sur des données et paramètres théoriques de la situation future, suite à des travaux et (ré)aménagements. Sa valeur varie donc selon l’emprise au sol des constructions, le type de revêtements choisis, la proportion d’espaces de pleine terre et la présence plus ou moins abondante de biotopes urbains et éléments du paysage utiles à la faune dans les différentes versions d’un projet.

    Il peut donc être un outil d’aide à la conception pour développer certains aspects d’un projet plutôt que d’autres. Dans ce cas, le CBS+ de différents scénarios est calculé en tenant compte de degrés de libertés pour la conception, notamment en termes d’évitement et de réduction des incidences environnementales négatives.

    On cherchera à "maximiser" le CBS+ en jouant sur l’implantation et les emprises au sol des différentes composantes construites (bâti et circulations) et en prévoyant des aménagements (biotopes) propices à l’accueil de la faune et de la flore.

    © G. de Kinder

    De quoi est composé le CBS+ Renature ?

    Coefficient de surface

    Le coefficient de surface (CBs) reprend l'approche classique d'un coefficient de surface : une typologie de revêtements du sol et des constructions associée à des pondérations. Plus le type de revêtement est intéressant pour la biodiversité, plus la pondération est élevée. 

    Chaque superficie encodée est pondérée, et la somme des surfaces pondérées est divisée par la superficie totale du terrain pour obtenir un ratio qui traduit la proportion "éco aménagée" du terrain.

    Dans notre outil, les superficies du bâti sont distinguées des superficies de l'espace ouvert (anciennement, tout était fusionné, ce qui occasionnait une interprétation plus compliquée).

    Le coefficient de surface est plafonné à 70% pour la pleine terre. 

    Coefficient de renforcement

    Le coefficient de renforcement (CBr) vient affiner le résultat en s'intéressant à divers paramètres qui s'évaluent plus difficilement au mètre carré près. Il vient octroyer une score qui s'intègre dans les 30% restants (au-delà des 70% du coefficient de surface).

    Le renforcement porte sur :

    • Le renforcement du bâti (max. 15% pour les parties construites)
    • Le renforcement de l'espace ouvert (max. 30% pour les parties non construites), dont :
      • Le renforcement des strates plantées (max. 20%)
      • Le renforcement de la connectivité écologique (max. 10%)

    Comme les renforcements sont ramenés respectivement à la proportion bâtie ou non bâtie, une construction même exemplaire en termes de végétalisation n'atteindra pas la valeur d'un terrain de pleine terre même extrêmement basique (comme un terrain de foot ou un champ de maïs).

    Mention de biotope

    Une large série d'aménagements et caractéristiques du terrain ne permettait pas une réelle prise en compte dans le résultat final, surtout dans une vision urbanistique de l'outil.

    Nous avons donc intégré une "mention" qui peut attribuer d'un à quatre "+" au résultat final. Les mentions ne changent pas le score chiffré, mais amènent une interprétation de la richesse d'un aménagement.

    Note finale

    Le score CBS+ d'un terrain reprend donc un résultat chiffré en pourcents (0-100) et une mention (0 à 4 '+').

    Nous avons ajouté pour la lecture simplifiée une note de A à E, établie sur base d'une graduation par tranches de 20%. Cette donnée est purement indicative.

    • Même si les lettres employées sont les mêmes, la note A à E n'a pas de lien avec le score A à E de la carte d'évaluation biologique !

    Référence par projet

    Dans le cadre d'une situation projetée, le CBS+ affiche une "valeur de référence" indicative, qui est calculée sur base de différents paramètres :

    • La localisation dans le réseau écologique : la valeur de référence est plus élevée dans le réseau qu'en dehors du réseau.
    • Le type de projet : la valeur est plus élevée quand les contraintes du projet permettent plus d'options de développement de la nature, comme une construction neuve par rapport à une rénovation.

    Ces deux variables permettent d'identifier 4 scénarios principaux. A chaque scénario sont attribués des ambitions moyennes pour 3 composantes de l'espace : 

    • L'emprise bâti, à savoir les constructions.
    • L'emprise ouverte revêtue, englobant les voiries, allées, terrasses...
    • L'emprise ouverte végétalisée, englobant les jardins, parcs et abords plantés.

     Cette approche permet d'obtenir une valeur de référence (ambition) pour chaque projet, tenant compte de ses contraintes et des emprises artificialisées qui sont autorisées par la règlementation urbanistique. Il ne s'agit donc pas de fixer des "seuils" à atteindre localement.

    • Pour l'interprétation graphique, le calculateur affiche le CBS+ initial (trait beige) et projeté (trait violet).
    • Sur le graphique "baromètre", la référence est visualisée par la zone bleue (+/- 3% autour de la valeur de référence) - en-deçà, la zone est grise, au-delà, la zone est verte.

    Partie du terrain ans le réseau écologique

    Faibles contraintes Fortes contraintes
    Espace ouvert végétalisé 90% 80%
    Espace ouvert revêtu 8% 6%
    Bâti 25% 20%

    Partie du terrain hors du réseau écologique

    Faibles contraintes Fortes contraintes
    Espace ouvert végétalisé 75% 70%
    Espace ouvert revêtu 4% 3%
    Bâti 15% 10%
    • Le calculateur fournit automatiquement la valeur de référence une fois les données du coefficient de surface encodées.

    La valeur de référence offre un élément d'interprétation du résultat, mais les hypothèses ne permettent pas de tenir compte de tous les cas particuliers. Un CBS+ peut être plus bas que la valeur de référence pour diverses raisons tout à fait défendables (un PPAS empêche d'avoir des toitures plates végétalisées, des problématiques spécifiques limitent les choix de conception...).

    Documentez ces éléments dans l'annexe explicative.

    En savoir plus

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